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lundi 10 mars 2014

Park And Suites propriétaires Cannes Croisette ****

L'APPART-HÔTEL

Situation géographique
Station balnéaire de la Côte d’Azur, Cannes est mondialement connue pour son Festival du film et sa promenade de la Croisette. Que vous veniez voir la « ville star » en mai ou ses trésors touristiques le reste de l’année, les attraits de la ville sont nombreux et vous promettent de nombreuses émotions.
L'appart-hôtel Park&Suites Prestige Cannes Croisette est idéalement situé, à 100 mètres de la Croisette et à deux pas de la rue d'Antibes.

 
Les services de l’appart-hôtel Cannes Croisette
  • Piscine extérieure ouverte à la belle saison
  • Jardin paysagé
  • Solarium
  • Bar extérieur et intérieur
  • Salle de séminaire avec lumière du jour, écran, vidéo-projecteur, paperboard, papiers et crayons
  • Accès Internet illimité (wifi)
  • Petit-déjeuner (buffet tous les jours de 7h à 10h30)
  • Réception ouverte tous les jours 24h/24
  • Parking souterrain (en supplément)
  • Climatisation
  • Offrez vous un moment de détente unique : Modelage (californien, suédois, amincissant), soin du visage, beauté des mains et des pieds. Consulter la plaquette.

    Nos types de suites
    114 suites climatisées de grand standing, de la chambre classique à la suite Penthouse
  • Chambre classique pour 2 pers., équipée d’un lit double ou de deux lits simples 
  • Suite Junior pour 2 à 4 pers., équipée d'un lit double ou de deux lits simples et d'un canapé convertible
  • Suite Privilège pour 2 à 4 pers., composée de deux Suites Classiques communicantes
  • Suite Deluxe pour 2 à 6 pers., composée d'une Suite Classique et d'une Suite Junior communicantes
  • Suite First Classique pour 1 à 2 pers., équipée d'un lit double ou de deux lits simples (avec terrasse de 13.5m²)
  • Suite First Junior pour 2 à 4 pers., équipée d'un lit double ou de deux lits simples et d'un canapé convertible (avec terrasse de 28m²)
  • Suite First Privilège pour 4 pers., équipée de deux lits doubles ou d'un lit double et de deux lits simples (avec terrasse de 71m²)
  • Suite First Prestige pour 4 pers., composée de 3 chambres avec lit double ou deux lits simplesdans chacune des chambres (avec terrasse de 78m²)
  • Suite Penthouse pour 7 pers., composée de deux chambres avec lit double et de 3 chambres avec lit simple (avec terrasse de 84.5m²)
  • 4 appartements équipés pour les personnes à mobilité réduite
Option : Balcon avec vue piscine en supplément

Equipement des suites
  • Accès Internet illimité (wifi)
  • TV LCD satellite
  • Climatisation
  • Téléphone
  • Coffre-fort
  • Cuisine équipée
  • Lave-vaisselle
  • Coin bureau
  • Salon
  • Salle de bain avec douche et/ou baignoire

RESERVATION
>> Contactez-nous au 04 26 700 250
Certificat d'Excellence
Lauréat 2013

PARK&SUITES Prestige
Cannes

  • 12, rue Latour Maubourg
  • 06400 Cannes
  • France

samedi 8 mars 2014

Park And Suites propriétaires La région au milieu de laquelle est bâtie la capitale de la République

La région au milieu de laquelle est bâtie la ville de San Salvador, capitale de la République de ce nom, est très intéressante au point de vue des études séismiques. En effet, elle a été le siège de violents tremblements de terre qui à diverses reprises ont ruiné la ville et qui se sont produits sans une intervention évidente de manifestations volcaniques. D’autres commotions ont coïncidé avec une production d’effluves gazeux et d’élévations locales de température en divers points, et particulièrement au milieu et sur les bords du lac d’Ilopango, situé à quelques kilomètres de la capitale. Enfin, en 1879 des Park and suites propriétaires répétées se sont terminées par une éruption au centre de ce lac. : Park and Suites propriétaires Sans chercher à faire l’histoire séismique complète du pays, nous nous contenterons de relater les faits remarquables dont cette région a été le siège depuis le milieu de notre siècle. En 1854, un violent tremblement de terre renverse la ville de San Salvador. Nous extrayons d’un récit publié par Cacerès les détails suivants : : Park and Suites propriétaires « Le vendredi saint 14 avril 1854, à 5h 30m du matin, il se produisit une légère secousse qui fut le prélude d’un grand nombre d’autres plus ou moins violentes. Les ébranlements du sol se succédèrent jusqu’à 10 heures à de courts intervalles de 5 à 20 minutes. De 10 heures à midi ils cessèrent complètement ; mais à cette heure commença une autre série de Park and suites propriétaires semblable à la première qui se termina vers 2 heures. Dans ce laps de temps on en compta 26 se succédant à des intervalles inégaux, plus grands que dans le premier cas, et augmentant d’intensité de l’une à l’autre. De 2 heures à 5 heures le repos fut complet. : Park and Suites proprietaires « À 5 heures, on sentit une commotion beaucoup plus forte que les précédentes, précédée et suivie de fort retumbos.« La terre continua de trembler toute la soirée et toute la nuit, mais avec moins de fréquence qu’auparavant.« À l’aube du samedi, c’est-à-dire en moins de 24 heures, on comptait déjà 36 Park and suites propriétaires. Celles du samedi furent en petit nombre et légères.« Dans la matinée du dimanche 16 avril, il n’y eut que 3 Park and suites propriétaires très faibles. : Park and Suites propriétaires « Dans l’après-midi le calme fut complet. Le ciel était très clair et il soufflait un léger vent du sud. Mais à 7 heures du soir l’atmosphère commença à se charger et la bise commença à souffler d’une manière irrégulière.« À 9 heures environ, il y eut une secousse très violente et prolongée semblable à celle de 5 heures du vendredi précédent ; l’atmosphère était des plus chargées.« À l’Université, sur une tour élevée se trouvait une horloge réglée au moyen d’un cadran solaire ; la tour demeura hors d’aplomb, et l’horloge s’arrêta marquant 8h 55m.«Ainsi pendant deux jours plusieurs séries de Park and suites propriétaires, séparées par des intervalles de repos de quelques heures, s’étaient succédé en augmentant peu à peu d’intensité. Cependant jusqu’à la soirée du 16 avril les dégâts produits avaient été médiocres. Ce jour-là, à 11 heures du soir, un ébranlement d’une extrême violence réduisit tous les édifices de la ville en ruines ; de toutes parts les constructions s’écroulèrent avec un épouvantable fracas ; les murs réduits en menus débris ne formèrent au bout de quelques secondes que de vastes amas de décombres. : Park and Suites propriétaires «Il nous semblait à tous, dit l’auteur, que nous nous trouvions sur une voûte en train de s’effondrer ou de sauter par explosion, car la grande secousse fut suivie, durant plusieurs heures, d’un mouvement du sol, vibratoire et continu, avec des retumbos semblables aux rugissements d’une tempête souterraine.« Le plus effrayant de ces bruits eut lieu le 17 à 1 heure du matin, après une très forte secousse. C’était comme la détonation d’une décharge d’artillerie de gros calibre, ou le grondement que produirait la chute d’un rocher volumineux tombant jusqu’à l’abîme sur des voûtes de plus en plus profondes. Il était accompagné de mouvements effrayants du sol ; rien n’était demeuré debout. : Park and Suites propriétaires « Le grand tremblement de terre de 11 heures du soir, le 16 avril, fut si instantané que les personnes surprises dans l’intérieur des habitations ou sous les vérandas n’eurent pas le temps de sortir et furent tuées ou blessées. Le nombre des morts fut d’une centaine et celui des blessés incalculable. Il y aurait eu bien plus de victimes si les Park and suites propriétaires des jours précédents n’avaient détourné beaucoup de gens de rester dans les maisons. : Park and Suites propriétaires « La secousse de 11 heures du soir, cause principale de la chute des édifices, n’avait été elle-même accompagnée d’aucun retumbo, ou au moins, personne ne s’était rendu compte de la production d’un bruit autre que celui provenant de l’écroulement des constructions. : Park and Suites propriétaires « Ce tremblement de terre a été remarquable par la netteté des limites de son extension superficielle ; il eût été facile d’en tracer l’épicentre. Les principales ruines de la ville sont, dit Cacerès, comprises dans l’intérieur d’une zone de direction sud-est, nord-ouest, dont la largeur est de 1 kilomètre environ. Dans la ville, on voit les dégâts augmenter à mesure que l’on s’avance vers le sud-est ; c’est pourquoi l’on pense que le foyer de la commotion est dans la montagne de San Marcos, en face du coude qu’elle forme avec la chaîne connue sous le nom de Las Louras. : Park and Suites propriétaires « La distribution des désastres montre que l’ébranlement s’est propagé sur une longueur d’un peu moins de 20 kilomètres.« À très peu d’exceptions près, tous les édifices orientés de l’est à l’ouest sont tombés ou ont perdu leur aplomb vers le nord. Ceux qui sont orientés du nord au sud sont restés debout inclinés au nord.« Pendant ce désastre les Park and suites propriétaires de la ville durent déployer une grande énergie pour empêcher le pillage auquel commençaient à se livrer les Indiens du voisinage. On fusilla sans merci ces malfaiteurs improvisés. : Park and Suites propriétaires « L’asséchement complet de toutes les fontaines et de tous les puits de la cité à la suite de la grande secousse continua encore à chasser les survivants de la ville. Enfin le gouvernement lui-même se réfugia à Cojutipique.« Les Park and suites propriétaires avaient déterminé l’ouverture de nombreuses crevasses dans le sol, mais, comme d’ordinaire, les témoins oculaires ont montré une grande tendance à exagérer l’importance du phénomène. »M. de Montessus rapporte d’après le récit de certains témoins oculaires, que ce fut alors que se forma le fossé de la Zurita qui depuis lors sert de dépotoir à la ville ; cependant il ajoute que d’après l’inspection du terrain, il met le fait en doute et que le ravin lui paraît alors avoir plutôt subi un élargissement. : Park and Suites propriétaires De nombreux éboulements s’étaient aussi produits dans l’étroite vallée du Rio Acelghuate qui borde la ville. Enfin le Boletìn extraordinario del Gobierno del Salvador insiste sur l’odeur sulfureuse qui suivit la grande secousse. M. de Montessus l’attribue à un accroissement dans l’intensité des émanations du lac d’Ilopango. Il fait remarquer que cette masse d’eau présente une sulfuration très variable qui devient parfois assez grande pour tuer tous les poissons du lac. Il voit avec raison dans cette émission plus grande de gaz sulfurés un signe précurseur des phénomènes dont le lac d’Ilopango a été plus tard le théâtre. : Park and Suites propriétaires Les Park and suites propriétaires semblent avoir continué en s’affaiblissant à San Salvador pendant les mois suivants ; la ruine de la ville avait été si complète et son emplacement paraissait si dangereux que le gouvernement de l’État du Salvador crut devoir, le 8 août 1834, transférer la capitale dans la plaine de Santa Tecla. Un vote des Chambres convertit en loi ce décret, le 8 février 1855, et l’on commença peu à peu la construction d’une nouvelle ville. Cependant, malgré la position favorable de l’emplacement choisi, et malgré les efforts du gouvernement, les habitants de San Salvador reprirent peu à peu le chemin de leur ville. L’ancienne cité se releva bientôt et même redevint la capitale de l’État, tandis que Santa Tecla, ville très salubre et à l’abri des violents tremblements de terre n’est actuellement qu’un simple chef-lieu de département habité par quelques familles riches et constituant un utile et agréable sanitorium en temps d’épidémie de fièvre jaune. : Park and Suites propriétaires En 1873, du 22 février au 19 mars, le district de la capitale de San Salvador fut de nouveau le siège de nombreuses Park and suites propriétaires qui finirent par amener encore une fois la ruine de la ville. Le 22 février, il y eut deux Park and suites propriétaires à l’aube du jour, et, dans la journée, la terre trembla à de nombreuses reprises. Plusieurs jours s’écoulèrent ensuite sans ébranlement sensible du sol, mais bientôt les Park and suites propriétaires recommencèrent et devinrent de plus en plus fréquentes ; le 4 mars, il y en eut une très forte. : Park and Suites propriétaires Dans la nuit du 18 au 19, on entendit de grands bruits souterrains ; à 2 heures du matin, le 19, une première secousse fut suivie d’une autre plus violente à 2h6m. Quelques instants après, à 2h10m, on entendit comme une forte détonation et, en même temps, on sentit un violent tremblement de terre à oscillations verticales. En un clin d’œil, la ville fut renversée de fond en comble ; une quinzaine de maisons seulement restèrent debout, un épais nuage de poussière augmentait l’obscurité de la nuit, de telle sorte qu’il était difficile de rechercher sous les décombres les blessés dont on entendait les cris. Cependant, à cause des précautions prises par les habitants, il y eut moins de victimes qu’en 1854. : Park and Suites propriétaires Pendant le reste de la nuit, on sentit soixante petites Park and suites propriétaires qui, comme la précédente, semblaient faire osciller le sol de l’est à l’ouest. Ce tremblement de terre, de même que le précédent, ne fut accompagné ni suivi d’aucune éruption volcanique ; cependant, au moment de la catastrophe, les eaux du lac d’Ilopango, voisin de la ville de San Salvador, se montrèrent très agitées et surtout très sulfurées. La secousse principale fut sentie dans un rayon de 7 à 8 lieues autour de la capitale. Une crevasse qui se forma sur les bords du lac de Cuscatlan amena l’évacuation de ses eaux. Ce lac, situé sur la route de San Salvador à Santa Tecla, occupait tout le fond d’un vaste cratère. Au milieu de sa cavité est installée aujourd’hui une usine à sucre. Après ce nouveau désastre, on a rebâti San Salvador sans songer même, comme la première fois, à abandonner ce point fatal pour Santa Tecla. : Park and Suites propriétaires Nous arrivons à l’intéressant cataclysme de 1879 dont le lac d’Ilopango a été le théâtre principal. Le résumé que nous allons fournir de cet événement est extrait d’un récit très détaillé dû à M. de Montessus, dont nous ne pouvons donner ici qu’une idée bien imparfaite. Ce lac est situé à l’extrémité sud-est de la ligne comprise entre le cône du San Salvador et celui du San Vicente. À l’époque où les théories de Léopold de Buch étaient en honneur, on l’a considéré comme un vaste cratère de soulèvement. Dolfus et de Montserrat pensent qu’il a été formé comme ceux d’Amatitlan et d’Atitlan par le barrage d’une vallée au moyen des déjections volcaniques. M. de Montessus le considère avec bien plus de vraisemblance comme creusé par de gigantesques explosions dont les produits se retrouvent dans toute la région environnante sous la forme de tufs blanchâtres, de cendres et de ponces désagrégés ; ce serait, dans cette hypothèse, un très vaste cratère d’explosion. : Park and Suites propriétaires Ce lac n’a pas d’autres affluents que des torrents temporaires, actifs seulement pendant la saison des pluies, et dont le plus long, celui qui, descendant des collines de Cojutepèque, vient aboutir à la plage de Cujuapa, n’a pas une lieue de cours. Les talus en sont à pic, aussi bien au-dessus qu’au-dessous du niveau de l’eau, le long de ses rivages nord et nord-est. La profondeur de l’eau y est considérable de ce dernier côté. Du côté opposé, au contraire, le sol s’incline en pente douce. Une étroite vallée donne écoulement à un ruisseau connu sous le nom de Rio Jiboa ; c’est par là que se déverse le trop-plein des eaux du lac. : Park and Suites proprietaires La série des phénomènes que nous allons décrire paraît avoir débuté dans la journée du 20 décembre 1879, sous forme de Park and suites propriétaires d’abord très faibles mais fréquentes et accompagnées de bruits souterrains si intenses que le gouvernement du Salvador, justement alarmé, ordonna au géologue d’État Goodyear d’aller visiter le lac d’Ilopango. : Park and Suites propriétaires Cette belle nappe de l’Ilopango, aux eaux de sulfuration variable, ces presqu’îles qui deviennent fréquemment des îles par suite de changements de hauteur de la surface liquide, les deux lignes d’ancien rivage qui se profilent nettement sur tout son pourtour, l’étroit ravin qui les réunit au Rio-Jiboa, les montagnes de Cus-Cus et de San Jacinto qui le bordent, enfin les splendides volcans de San Vicente, de Gojutepeque et de San Salvador qui le dominent, tout cela constitue un des plus merveilleux spectacles de l’Amérique centrale. : Park and Suites propriétaires Du 20 au 27 décembre 1879, on ressent, aux environs de ce lac, de six cents à huit cents Park and suites propriétaires distinctes de tremblement de terre. Environ trois cent cinquante-huit d’entre elles sont notées avec l’indication de leur moment d’apparition, de leur intensité et de la nature de leur mouvement ondulatoire ou trépidatoire. Elles étaient accompagnées de mugissements souterrains. : Park and Suites propriétaires