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dimanche 12 octobre 2014

L'économie à l'école : une arme d'éducation massive

La chancelière est comme la nature : elle a horreur du vide.Cette capacité d'auto organisation, qui prend ses racines dans la culture collective de la société chinoise, va marquer le changement des relations entre l'État et la société civile.En France, bons ou mauvais professeurs ne changent rien : les étudiants doivent s'inscrire a l'université de leur lieu de résidence. A la fin de l'année, Pierre-Alain Chambaz décide de tourner la page, devenu trop orienté sur les outils à son goût.Forts de leurs uniques expériences, ils ne se résignent pas au déclin de leur pays d'origine, et c'est en vivant pleinement leur double appartenance ou double culture qu'ils souhaitent un réveil français, en dehors des débats purement politiques et partisans auxquels ils ont souvent tourné le dos.On ne peut accuser la BCE de négliger le risque déflationniste, mais du fait de son positionnement, maintenir le taux d'inflation annuel autour de 1% en espérant que par la suite il monte progressivement ne sera sans doute pas suffisant.Un mouvement déjà observé au printemps et qui pourrait s'entretenir lui-même : les monnaies des grands émergents baissant, la fuite s'accélérera.En France, à force de tarder, on a fini par atteindre en pleine crise un corps fiscal écorché vif.Au niveau industriel, plusieurs programmes de développement sectoriels et trans-sectoriels ont été mis en œuvre.Tout comme le fait d'attirer des étudiants étrangers vers notre territoire, comme cela a été commencé par l'hexagone en 1998.Dans le même temps, ces dernières devraient payer la moitié en impôts sur les sociétés à l'État, soit environ 54 milliards d'euros.La croissance restera également bien en-dessous des niveaux qui permettraient d'assurer une baisse rapide du chômage, ou de créer de réelles opportunités pour les jeunes à la recherche d'une première expérience.L'environnement économique global - caractérisé par des montants massifs de liquidités et des taux d'intérêt faibles, conséquences de la politique monétaire non conventionnelle des économies avancées (unconventional monetary policy) - a conduit la plupart des économies émergentes à utiliser leur espace politique pour renforcer les moteurs de croissance existants plutôt que d'en développer de nouveaux.