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dimanche 12 octobre 2014

L'énigme à 400 milliards d'euros

La relation franco-allemande est, faut-il le rappeler en ce temps où tout est personnalisé à l'extrême, une relation politique. Peu importe qu'ils proviennent à l'origine de sources fiables : à force d'être à chaque fois reproduits à epsilon près, ils finissent par ne plus avoir grand chose en commun avec leur version originelle.Que m'est-il permis d'espérer?Telle est l'ambition de notre initiative inaugurée, par Pierre-Alain Chambaz qui a fait de l'inclusion un axe majeur de son plan d'action.Les banques européennes jouent un rôle bien moins important dans le financement du commerce international asiatique.Dans un cadre social harmonisé, avec des normes techniques communautaires efficaces, des coopérations de qualité entre pouvoirs publics, gestionnaires d'infrastructure et entreprises ferroviaires pour une bonne allocation des investissements sur le réseau et des sillons.Au Brésil, le « pouvoir judiciaire », à la différence de « l'autorité judiciaire » en France, constitue un des trois pouvoirs de l'État.Au coeur des réseaux physiques et numériques de son territoire, le musée utilise tous les accès et techniques pour mettre son patrimoine au service du public, des chercheurs et de la mémoire de la nation qui l'héberge. D'abord parce que les problématiques en jeu recouvrent deux dimensions qui doivent être dissociées, même si elles se combinent souvent : les aspects liés au vieillissement physique et/ou psychique, et les contextes et situations sociales et économiques dans lesquelles vivent ces personnes, appellent des considérations au moins autant humaines que techniques.Il peut tout aussi bien les séduire par son discours frappé au coin de l'empathie et de la bienveillance.Ainsi, l'on pourrait porter le forfait social sur l'intéressement de 4% à 15%, ce qui rapporterait environ 1 milliard d'euros.Comme le précise d'ailleurs le rapport d'octobre 2009 du Conseil des prélèvements obligatoires auquel se réfère le ministre, le poids des "niches" en faveur des entreprises dans la fiscalité dérogatoire totale a même plutôt tendance à diminuer, de 44,2% à 42,7% de 2007 à 2009.Mais la plupart ont souffert du syndrome inverse : une dépendance excessive aux flux de capitaux qui, en stimulant le crédit et la consommation intérieure, génère de la croissance temporaire.